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Blog-Serge-FREYDIER
30 mai 2017

Arthur et John, barbiers stéphanois

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 Comme tous les ans, les dictionnaires français livrent la liste des mots et personnalités qui font leur entrée dans leurs ouvrages...

Les "hipster" seront eux dans le Larousse... 

 

 

 

 

A deux pas de la place Chavanelle (14 Rue Leon Nautin Saint Etienne), je suis passé chez Arthur et John deux associés qui en fin d'été 2014 créaient un nouveau barber shop.  Depuis ils ont été imité dans plusieurs rues stéphanoises.   

 

A l'époque le site lyonnais http://lyon.citycrunch.fr/saint-etienne-capitale-mondiale-des-hipsters/2014/05/19/ titrait pour nous chambrer "Saint-Etienne capitale mondiale des hipsters". Ce qui était une blague est confirmé avec entre autres cette  nouvelle pierre apportée à l'édifice par Arthur et John ! (Retrouvez les sur > Facebook)    

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Vous le savez 'hipster' est un néologisme des années 40, recyclés depuis quelques années pour désigner un courant de mode plus ou moins générationnel (comme en leur temps "zazou", "beatnik", "baba cool" etc. etc.).hipster

Avec ce courant la barbe et la moustache sont de nouveau à la mode. Et qui dit retour du poil, dit retour des professionnels de la pilosité faciale. Barbe de trois jours ou vraie barbe de bûcheron, voire moustache. Les codes de beauté masculine qui incitaient les hommes à se raser de près pour avoir un visage sans l'ombre d'un poil tendent à être remplacés . En matière de barbe, deux tendances se dégagent : la barbe très courte et soignée, dite "à l'italienne", et la barbe longue et fournie, assortie d'une moustache sculptée. Pour les "hipsters", ces jeunes branchés, le passage chez le barbier est un must

A noter: le 20 novembre 2014 Arthur et Jonathan ont décroché le prix du jeune créateur Loire Sud Créafil Rhône-Alpes.

http://www.creafil-3.rhonealpes.fr/   


 


    

26 mai 2017

Costil un tatoué à Bordeaux

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Le gardien Benoît Costil a officiellement signé en faveur des Girondins de Bordeaux ce mercredi, mettant fin à une aventure de six ans avec le Stade Rennais.
  Je l'avais vu avant un match contre l'ASSE....


Costil c'est un tatoué, il est passé entre les mains magiques de Miss Atomik, la tatoueuse rennaise qui a la particularité d'avoir un paquet de footballeurs pour clients, du SRFC, mais aussi de l'OL.


Elle déclare "Benoît (Costil), je lui ai fait les deux bras. C'est bien, il est à l'écoute, il a fait ça patiemment avec des choses qui lui tiennent à cœur. Il a des cartes à jouer, une couronne, un diamant, un numéro 1, différents lettrages en rapport avec des choses importantes de sa vie, un petit ange, une tête de mort avec une bougie, une hirondelle, une colombe…" source http://www.sofoot.com/miss-atomik-les-tatouages-de-beckham-c-est-une-catastrophe-202272.html   

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Sur les motivations des joueurs en général: "Les motivations sont tellement différentes. Tu vois que certains joueurs se font tatouer uniquement pour le principe de se tatouer. On dirait que ça fait partie de la panoplie pour eux… J'ai l'impression qu'il y en a pour qui c'est presque un gage de réussite : faire comme Beckham, faire comme Zlatan… En France, il me semble que celui qui a lancé la mode, c'est Djibril Cissé. Mais pour en revenir aux motivations, je dirais que ce sont celles de jeunes de leur âge. Je les vois bien, certains, à débarquer dans la boutique avec les photos de rappeurs, de gangstas… C'est un univers qui les branche."
Inspirés par les footballeurs, certains fans souhaitent reproduire les tatouages de leurs idoles. Pour Miss Atomik, il en est hors de question: "On m'a souvent demandé de reproduire les tatouages des bras de Benoit Costil. Je refuse catégoriquement. On peut s'en inspirer, mais chaque tatouage doit être unique"

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23 mai 2017

Jaume Plensa et ses grosses têtes

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Né en 1955 à Barcelone (Espagne). Vit et travaille à Barcelone.


Depuis 1980, lors de sa première exposition à Barcelone, jusqu'à aujourd'hui, il a vécu et travaillé entre Berlin, Bruxelles, l' Angleterre, la France, les Etats-Unis, et il vit aujourd'hui encore entre Paris et Barcelone. Il a été professeur à l'École Nationale des Beaux-Arts à Paris et a également été chargé de cours dans de nombreuses universités et institutions d'art. Il collabore en tant que professeur invité à l'Ecole de l'Art Institute de Chicago.

Depuis 1992, il a obtenu plusieurs distinctions et récompenses, tant au niveau national qu'international, notamment une lettre d'investiture en tant que Chevalier des Arts par le ministère français de la Culture (1993), le Prix National pour les arts plastiques remis par le gouvernement culturel de Catalogne en 1997 (Barcelone), le doctorat honorifique de l'Ecole de l'Art Institute de  Chicago (Chicago, USA, 2005), le Premio Nacional de Artes Plásticas d'Espagne (2012) et, plus récemment le Prix Velazquez  (2013)...


Son travail de sculpteur est passé par plusieurs étapes développée en grande partie avec des matériaux de récupération, de fer, bronze, cuivre, ... En 1986, il a commencé une série de sculptures en fonte, puis il a intégré des notions de lumière et de texte. Récemment, ses matériaux de fusion ont été la résine synthétique, le verre, l'albâtre, le plastique, la lumière, le béton, la vidéo et le son. Il a également une grande production d'œuvres sur papier et des gravures.

A côté de son œuvre sculpturale, il collabore souvent à des scénographies et des costumes pour l'opéra et les productions théâtrales.
 

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Je l'ai rencontré au musée d'art moderne de Saint-Etienne...Depuis ses débuts, Jaume Plensa a développé son travail de sculpteur dans des matériaux divers : métal, verre, albâtre, plastique, la lumière, le béton, la vidéo et le son. Sa démarche interroge la place de l'Homme dans l'espace public, les notions de liberté et de culture sont également au centre de son oeuvre. Pour le Musée de Saint-Etienne, il questionne la relation entre l'ombre et la lumière.

 "L'expo en elle-même est un message à propos du rapport entre le jour et la nuit", explique encore le plasticien. 
21 mai 2017

El Pez Le mur et le poisson

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Pez aime occuper les espaces de sa ville et jouer avec son poisson qui saute.. 🐟 🐟 🐠.Issu de la scène Graffiti et Street art barcelonaise, Pez ou EL Pez (traduisez ‘le poisson’) est un artiste urbain, peintre et illustrateur, né en 1976 à Barcelone (Espagne).

 

        Il est l’un des graffeurs les plus populaires de la péninsule ibérique. Lorsqu’il ne voyage pas pour son travail (expositions, festivals, collaborations) il vit entre l’Espagne et Bogota. Son Street art est influencé par les comics, la culture populaire espagnole, le courant hip hop et des artistes Pop comme Keith Haring, Roy Lichtenstein et Andy Warhol... En ce mois de mai 2017, il participait au festival SAFIR à Roche La Molière.....

19 mai 2017

CharlElie Couture rentre en France

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 Encore un selfie d'actualité!!

 

CharlElie revient en France et il précise pourquoi dans un long message:

Je rentre,
C’est décidé, je rentre en France.
Après quinze années passées à New York, je vais rentrer en France.
Parti pour chercher quelque chose à l’intérieur de moi, j’avais le sentiment de ne pas pouvoir le trouver ailleurs. Comme un hamster dans une cage certes bien entretenue, mais trop étroite, je devais quitter un traintrain qui tournait à l’ennui comme un manège sur les rails d’avis préconçus et de jugements à l’emporte-pièce. Porté par l’idée que la Liberté d’agir américaine me permettrait de me défaire d’une gangue de principes qui m’empêchait d’aller loin, je voulais me défaire d’un costard en carton que d’autres avaient dessiné pour moi. Tous les artistes que j’admirais, tous ceux qui me motivaient, avaient un jour ou l’autre habité à New York. Je suis parti pour essayer autre chose, pour me déconstruire afin de mieux me reconstruire dans cette ville qui me faisait rêver.

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New York, Oh ! New York, tant de choses s’y passent à la jonction des impossibles. New York où se croisent tous les paradoxes, les envies forcenées des princes de l’extrême, les diamantaires de la 47th street, les musiciens célestes des clubs de jazz, les monstres de l’investissement sur Wall Street, les sages de l’anarchie de Harlem ou Lower East side, les bonzes en méditation ou les juges mormons, à Chinatown ou à Crown Heights, les danseuses du pole Nord, Hercules et amazones, les rois du Crossfit ou de la boxe thaï, les écrivains suicidaires, les touristes suants sur la 42nd, les diables gourmands et les angelots bedonnants, les Méduses furieuses et Gorgones à paillettes, les rustlers, butlers, hustlers ou autres footpads et pimps en couleurs aux néons de Times Square, ou les figures de proue des bateaux d’une renommée fantôme à Tribeca… New York ! Oh New York, qui me faisait tant rêver !
J’y ai trouvé la réponse à quasiment toutes mes interrogations sur l’Art et la Beauté, sur le sexe, la famille, la drogue, la religion ou la solitude, sur l’argent et le pouvoir et même sur le sens de la poésie. Oui, j’ai trouvé des réponses à tout cela en me confrontant aux dieux et démons qui tels les spectres de Ghostbuster, hantent les millions de globules circulant dans les artères du "géantissime" New York.
Une ville c’est comme un engin de chantier, un engin de construction. Quand on s’imagine pilote, envahi du plaisir mégalomane animant ceux qui aspirent à se colleter aux grands défis, plus la ville est grande, plus on a le sentiment de conduire un gros engin. Mais s’il advient que le moteur de cette machine se grippe, alors on ne se sent vraiment plus capable de rien en face d’un diplo-bulldozzer de plusieurs mégatonnes immobile.
Je rentre.

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L’élection de ce pourri de Trump dont l’immeuble se dresse à quelques blocks de l’appartement où j’ai emménagé il y a quinze ans, a contribué à changer la donne. Un sentiment de malaise me donne des hauts le cœur chaque fois que je vois sa gueule de con proférer des ignominies. Mais au fond, il n’est que l’incarnation de la métamorphose d’une ville qui depuis 2001 est devenue celle des gens d’argent, des investisseurs, des banquiers et traders, des startups numériques et autres virtual winners. Elle n’est plus celle des «démerde-toi-et-le-ciel-t’aidera », des «le-talent-suffit », des « n’importe-quoi-vaut –mieux-que-rien» et autres rebelles inventifs qui trouvaient toujours un moyen pour se faufiler dans les interstices de la pensée au sein de cette ville in-finie. New York est devenue celle des multimilliardaires internationaux et des programmes informatiques contrôlant nos moindres comportements, surveillant nos pensées les plus secrètes. Quoi qu’on fasse, on s’aperçoit qu’on ne fait qu’obéir aux algorithmes conçus par des cyber démiurges. Bien sûr les artistes en tous genres, les « Best of the beast », les ambitieux talentueux venus du monde entier, les génies « toujours-plus-fous-que-vous », les insatisfaits en quête de réalisation, ceux qui donnaient de l’entrain à la ville, les démerdards qui la rendaient exceptionnelle tous ceux-là sont toujours présents quelque part, mais ils sont éparpillés aux quatre coins des 5 boroughs : Manhattan, Queens, Bronx, Brooklyn et Staten Island.
Depuis les origines de ce comptoir Hollandais, les immigrants ont toujours bataillé pour s’en sortir au jour le jour, mais le coût de la vie est devenu si élevé, qu’on n’a plus le temps de pouvoir espérer une quelconque réussite à moyen terme.
Le combat au quotidien pour la survie dans l’urgence n’a plus rien à voir avec l’espoir légitime de voir un jour fleurir après-demain les graines de la création qu'on a semées aujourd'hui. Non, on doit déjà arriver avec un bouquet. La mise minimum est si élevée qu’elle interdit l’accès à la table à tous ceux qui bien que bons joueurs ne peuvent plus abattre leurs cartes et faire montre de leur talent…
Bien sûr, on peut toujours dire que c’est histoire d’initiatives personnelles et que les gouvernants n’y sont pour rien ; c’est exact, n’empêche que si Marine Le Pen avait été élue, je ne verrais sûrement pas les choses de la même manière…
Au-delà du personnage que je ne connais pas personnellement, l’élection d’Emmanuel Macron représente un changement indiscutable (et nécessaire) dans l’approche de la chose politique Française.

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La constitution de son « jeune » gouvernement,- avec notamment en troisième poste Nicolas Hulot, qu’on attendait depuis des années investi d’une fonction proportionnelle aux prises de consciences qu’il avait suscitées,- de même que le choix de confier à des personnes d’expérience la responsabilité de ministères en adéquation avec leur sensibilité, tout cela me semble avoir le mérite de bouleverser une routine conventionnelle, et je trouve cet environnement intellectuel plus stimulant que le climat délétère de haine et de bêtise obscène qu’impose un président/tyran ignare qui nie le changement climatique, détruit les terres des indiens autochtones, se moque honteusement des opprimés, et ne prend des décisions que dans une optique de profit à court terme sans respect pour la dignité humaine.

Je garderai bien sûr un bureau/atelier à New York, une sorte de pied à terre où je pourrai recevoir, mais c’est décidé,
Je rentre en France.

CharlElie Couture.

17 mai 2017

Laura Flessel La guêpe devient ministre des sports

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Petite leçon d'escrime dans notre blog La Stratégie du Poulpe avec Laura Flessel. A forcer de piquer ses adversaires, Laura Flessel que nous avions rencontré à Saint-Etienne, a hérité de ce  surnom peu commun : la guêpe. L'escrimeuse tourne toujours autour de ses victimes avant de placer son attaque...

     En 2017 cela va lui être utile car elle rentre pour la première fois dans la sphère politique où les coups sont rudes. Nommer des ministres sans expérience politique et issus de la "société civile": la pratique est relativement ancienne en France, remontant au début du 20e siècle, mais s'est intensifiée depuis les années 1970-1980.
Le premier gouvernement du quinquennat Macron en compte près d'une dizaine, dont l'ancienne escrimeuse Laura Flessel (Sports) ou encore l'éditrice Françoise Nyssen (Culture).

 

 

 

 

La force pure en escrime n'est pas la première qualité. Mieux vaut réfléchir (vite) avant d'agir, l'à propos étant la qualité principale d'un escrimeur. Comme tous les autres sports, l'escrime demande de la concentration, de l'agilité, de l'endurance, mais aussi de la technique.

200px_CiblesBien que l'orientation du corps reste sensiblement toujours la même en escrime, il existe différentes façons de positionner son arme. Telles les différentes gardes en boxe, les positions en escrime permettent de mettre en place diverses techniques offensives ou défensives. Par exemple au sabre, positionner son arme a gauche (en quarte par exemple), permettra de se défendre d'une attaque visant la partie gauche (ligne du dedans) du corps de l'escrimeur, mais aussi d'attaquer l'adversaire sur sa partie droite. Les "parties" du corps sont appelées "lignes" en escrime, les positions de main sont numérotées de 1 à 8. Ces positions sont associées à la ligne qu'elles protègent, pour chaque ligne, il y a une position en pronation (ongles sous la main) et une en supination (ongles au-dessus de la main).

laura

15 mai 2017

Le Chaudron rend hommage à Galtier

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Malgré la lourde défaite concédée face au Paris SG (0-5), l'heure était à la fête dimanche soir au stade Geoffrey Guichard de Saint-Etienne. Le public stéphanois est venu en nombre pour la dernière apparition de Christophe Galtier dans son stade et il lui a offert des superbes adieux. Un hommage qui aura été à la hauteur de tout ce que ce technicien a apporté au club forézien.


Le coach a été célébré avant, pendant et après le match. Une banderole a été concoctée par les fans et sur laquelle était écrit : "Derbies gagnés, trophée remporté, Europe retrouvée, 17e place oubliée, 9 ans de fidélité. Merci Monsieur Galtier !". Un message qui a certainement dû émouvoir le principal intéressé.
Les 90 minutes de la partie ont été pénibles, mais la suite a redonné du baume au cœur de Galtier. Au coup de sifflet final, il a été remercié par les différentes tribunes, avec des applaudissements bruyants et des acclamations. Un cadre lui a aussi été décerné en guise de cadeau.

Le moment de partage était unique et les joueurs s'y sont associés en l'attendant sur le terrain. A noter aussi que l'entraineur s'est vu décerner la médaille de la ville.

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4 mai 2017

Election présidentielle: Bruno Gaccio est agacé

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Je  l'avais rencontré au centre des congrès de Saint-Etienne ...
Je ne suis pas d'accord avec l'intégralité de son texte, mais il témoigne d'une période complexe et confuse....

Son message:


"Comme je ne suis pas très bon en Facebook et que je n'arrive pas à réponde directement à ceux qui me traitent de complice des nazis qui arrivent dimanche au pouvoir en France, je le post ici. je n'ai pas compris, pardon. Je comprends que je suis assimilé à un électeur FN ? Rien que ça ? J'espère que non. Quant à mes amis qui luttent contre le fascisme 15 jours tous les 5 ans et qui me donnent des leçons de responsabilité, je crois me souvenir que ce sont les mêmes qui ricanaient lorsque j'ai participé, en 2011 à la création du collectif Roosevelt 2012 avec S Hessel, E.Morin, P.Larouturrou (rien que le nom les faisait marrer, vous parlez de condescendance ?) et tant d'autres. Pourtant c'était dans l'objectif de faire baisser les idées du FN. de faire quelque chose. D'essayer de donner des idées au PS en 2011 qui n'en avait déjà pas... (il en a prit et les a jeté après pour votre info, on est un peu cons c'est vrai) Quand j'ai contribué à la création de Nouvelle Donne, que je suis allé faire des meetings pour les européennes à Forbach, Bayeux, nice stetienne etc... ils se foutaient carrément de ma gueule "Woua l'aut' hé, il fait de la politique... ridicule. Arrête NOno, c'est tous des baltringues" Alors quand les mêmes me disent de sauver la république aujourd'hui, je suis inquiet. Se réveiller tous les 5 ans c'est plus près de la Belle au bois dormant que des combattants de la liberté comme attitude responsable ! Aujourd'hui, MLP va trouver 10 ou 12 millions de voix, En France. Parce que depuis des années on alimente les RAISONS qui font qu'il y a un vote FN. Elle ne sera pas présidente. Mais c'est peut-être pire encore. Elle aura infusé dans les esprits comme jamais. Si je me suis exprimé, si je continue à le faire en vous répondant et en répondant le plus possible à ceux qui me font l'honneur de me lire (même ceux qui injurient, parfois, je condescends à dire merci, puisque je suis condescendant) c'est parce que ces belles au bois dormant - que le baiser d'un prince vient de réveiller - m'engueulent. Ils jugent, comme vous le faites, mon vote de "non choix". Je ne m'abstiens pas. Je veux dire que je ne choisi pas. Pour ne pas être assimilé à quelqu'un qui renvoie dos à dos les deux candidats en disant, ils sont pareils. Ils ne le sont pas. Je le sais. Je ne juge pas le fait que vous aimiez Macron ou que vous détestiez Mélenchon, c'est votre droit, votre opinion, votre liberté. J'aimerai simplement ne pas me faire traiter de complice des Nazis, de suppôt Hitlérien et d'irresponsable conscient, parce que je ne choisi pas entre deux mauvaises solutions, même si une semble plus mauvaise que l'autre. (j'ai pas encore eu antisémite mais ça ne saurait tarder, il reste quelques jours aux plus finauds)... Et je redis qu'aujourd'hui, avec 60/40 en faveur de Macron le risque est limité. Si demain, à la suite d'un débat qu'il perdrait honteusement, ce que je ne souhaite pas, elle gagnait 10 points... je changerais mon vote."   Bruno Gaccio le 4 Mai 2017

    Dans une ITW pour L'HUMANITE  en octobre 2015 il déclarait: " C'est le système économique qui est brutal. Les « gentils organisateurs » évaluent toute politique en terme d' efficacité  (...) On nous dit que c'est le meilleur des systèmes. C'est faux. C'est le seul que l'on fait exister aujourd'hui. Pour résumer, je dirais que ce qui existe actuellement ne fonctionne plus mais que ce qui pourrait marcher n'est pas encore là. Nous vivons dans un entre-deux, période extrêmement inconfortable parce que c'est là que le pire s'exprime. Les peurs guident les gens, les fausses idées font leur chemin... et les complicités avec le système se créent. Certains font allégeance aux « gentils organisateurs " 

 

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